mercredi 2 janvier 2008

Meilleurs voeux pour 2008 / Wishes for 2008 - Happy New Year

A tous,

Santé, amour et bonheur pour 2008…

Good times to wish you Health, love and happiness for 2008…



Photo de / by Dimitri Beck : Statue à l’entrée du jardin des Tuileries, face à la grande roue sur la place de la Concorde, Paris, Déc. 07.
Statue at the entrance of Tuileries garden, in front of the Big wheel in Concorde square, Paris, Dec. 07.

mercredi 5 décembre 2007

Previous Aina Photo student wins award!

Oct 28, 2007. Photographer Safia Safi, who landed the third prize at the Photo Contest in the Second World Congress of News Agencies held by EFE in Spain, was also honoured. In the contest more than 200 photographs from around the world were placed.

A photograph of the dead body of Zakia Zaki, directress of the US-funded Radio Peace, was declared as the third best by a majority vote. Safia studied at Aina Photojournalism Institute in 2005-2006. Safia now works for Pajhwok Afghan News as photographer.

Congratulations Safia.
Photo: Safia Safi (1st right) learns photography at Aina training center, Kabul, June 25, 2006. Photo by Dimitri Beck.

vendredi 23 novembre 2007

En ta mémoire Najibullah / In memory of Najibullah

Dear Najibullah Jan,
I do not know if where you are now you have a chance to see or hear these words. But if I write these lines today it is in memory of you.
At Aina Kabul, everyday from early morning till night, you were the one bringing and sharing your smile all around the centre. I still remember that day when you told me you wanted to become a journalist and learn photography. You followed the classes at Aina Photo agency and you did it with all your positive energy. You were always ready to jump and to go everywhere to take pictures as you did when bomb attacks happened in the neighbourhood. You learnt from others and you were always ready to help your friends. Aina was your second house and you were the friend of all of us. I still remember when you gave me your letters that you had written yourself in French to be sent to your friends in France. These friends that helped and supported you as much as they could, until your last breath. It was probably a strong one as you were.
Najibullah Jan, thanks so much for so much kindness in all kind of situation. We will never forget you and your smile. Continue Najibullah. Please, continue to smile where ever you are. Wish to see one day your nice smile on every Afghan people’s face.
Khoda hafez Najibullah Jan
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"Condolences to the family of Najibullah" from Travis Beard's blog, http://argusphotography.blogspot.com
Wednesday, November 21, 2007
I am very sad to announce that one of the family members of the Aina Family passed away today. After loosing his 1st kdiney, Najibullah had been fighting for his life with a failing 2nd kidney. Najibullah was a successful student of the photojournalism course and also a long term employee at Aina. He was loved by all and even a last minute fund raising effort was not quick enough to save him. We all know that he is now in a better place and we hope that we will guide us with his wisdom and integrity.
Portrait of Najibullah, from Travis Beard's blog.
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PS: thank you very much Travis to keep us posted about Afghanistan. Even, if it is sometimes for sad news. But if no news cross the borders, Afghanistan may stay for a while a lost isolated world. Good luck.

dimanche 11 novembre 2007

En hommage à Christophe de Ponfilly, expo photos de Cyril Tourneur d'Ison le 12 novembre a l’Espace Guillaume dans le 3e arr. de Paris

En hommage à Christophe de Ponfilly l' Espace Guillaume Expo accueille les photographies de Cyril le Tourneur d’Ison, du tournage de «l’Etoile du soldat».

Exposition du 12 novembre au 19 novembre 2007. Commissaire: Alain Mingam. Vernissage le lundi 12 novembre 2007 à partir de 19h à L’espace Guillaume Expo 32 rue de Picardie, 75003 Paris - tel .01.44.54.20.60 / métro : République ou Temple.

Photo ci-dessus: Cyril le Tourneur d'Ison devant un ancien char soviétique, sur le tournage dans la vallée du Panjshir, Afghanistan, 28 sept. 2005.

Photo ci-contre: Christophe de Ponfilly dirige Sacha Bourdo, l'acteur principal, sur le tournage du film "L'Etoile du soldat", Panjshir, Afghanistan, 29 sept. 2005. Photos : Dimitri Beck.

vendredi 12 octobre 2007

284 milliards de dollars, c’est le coût des guerres en Afrique de 1990 à 2005

C'est le chiffre qui ressort d'un rapport publié par l'organisation Oxfam international.
A lire sur ce sujet sur le site d'Oxfam international in English:
http://www.oxfam.org/en/news/2007/pr071011_control_arms_cost_conflict_africa
sur le site d'Alertnet in English:
http://www.alertnet.org/thenews/newsdesk/L10191576.htm
et pour une version résumée en francais sur le site de Rue89:
http://www.rue89.com/2007/10/11/le-cout-des-guerres-en-afrique-284-milliards-de-dollars
Reste maintenant, tout aussi macabrement, à comptabiliser les centaines et les centaines de milliers de vies humaines qui en ont fait les frais. Mais à qui profite le crime?

samedi 4 août 2007

Evangéliser l’Afghanistan musulmane ou l’étrange initiative de chrétiens Coréens

A l’heure des négociations pour la libération des 21 Coréens chrétiens encore détenus par des Taliban -deux des 23 otages ont déjà été assassiné- les autorités coréennes tentent d’étouffer toute propagation d’images et d’informations dans leur pays. Par exemple depuis quelques jours, la police sud-coréenne a fermé des blogs où sont parus plusieurs photos de la visite du groupe d’évangélistes sur l’un des hauts sites religieux musulmans de la région de Kandahar. Les photos étaient accompagnées de commentaires en particulier ceux du pasteur qui le premier a été tué. Sur une de ces pages Internet en coréen –une page m’a été traduite par un contact coréen à Séoul- j’ai pu y voir en particulier des images avec des femmes vêtues d’abaya noire, couvertes de pied en cape, comme c’est la règle pour les femmes dans la péninsule arabique. Certaines ont même un fin voile noir devant le visage et ne voient qu’en transparence. Pour d’autres, seuls les yeux peuvent être vues. Des yeux de type coréen (voir les photos trouvées sur un des blogs encore actif).
Sur d’autres photos, les prosélytes chrétiens se recueillent dans la prière et le chant. Le pasteur, auteur de commentaires sur le blog, se félicite d’être en ces «terres dangereuses même pour les locaux et remercie Dieu de leur permettre d’y être».
En réaction aux commentaires et au contenu du blog, des lecteurs ont pour la plupart du temps posté des messages critiques et révoltés contre les démarches du groupe. Pour tenter de circonscrire les débats, le ministère des affaires étrangères coréen a transmis un courriel à ses correspondants le 23 juillet dernier demandant de bannir les mots de « chrétien coréen » et « d’organisation chrétienne » dans les messages. Du coup, comme me confie mon contact, beaucoup de coréens pratiquent la loi du silence. Ils préfèrent se taire et éviter de trop diffuser les photos du blog « de peur de mettre en danger la vie des otages si les Taliban tombent sur les photos » du groupe entrain de prier à la mosquée de Kandahar.
Rappel des faits, un groupe de 23 Coréens, dont 18 femmes, a été pris en otage le 19 juillet alors qu’il voyageait dans un car privé sur la route principale sud entre Kaboul et Kandahar, ancienne capitale des Taliban, route réputée pour être dangereuse.
Enfin, pour mémoire, les prosélytes chrétiens Coréens n’en sont pas à leur première tentative de provocation en Afghanistan, pays musulman et réputé très conservateur, qui sort à peine de 23 années de guerres. En août 2006, plus d’un millier d’entre eux s’étaient rendus dans la république islamique pour l’organisation d’un « festival de la paix » de trois jours. Cette initiative qui s’est faite sans invitation officielle a entraîné l’annulation de l’événement et l’expulsion des organisateurs coréens.

jeudi 5 juillet 2007

« Celui qui dresse les serpents finit toujours dans leur estomac »

Tirée de la revue de presse réalisée par l’ambassade de France à Kaboul, le quotidien Weesa écrit : « Celui qui dresse les serpents finit toujours dans leur estomac » ; cet article en pleine page, consacré aux événements de la Mosquée Rouge à Islamabad, estime que le Pakistan vit aujourd’hui « ce qu’il a fait subir à l’Afghanistan pendant des années ». Après avoir cité un autre proverbe persan, selon lequel « le creuseur de puits finit toujours par tomber dedans », l’article rappelle un récent rapport du Haut Conseil de Sécurité du Pakistan, qui mettait en garde contre la propagation de l’« idéologie tâleb » dans la société.

Je vous rappelle le contexte de la situation de la Mosquée rouge d’Islamabad :
« La Mosquée rouge a été assiégée mercredi par des centaines de membres des forces de sécurité pakistanaises après des heurts qui ont fait seize morts depuis mardi. Le gouvernement du président pakistanais Pervez Musharraf tente de contrôler la mosquée fondamentaliste dans le cadre de son soutien à la "lutte contre le terrorisme" menée par son homologue américain George Bush. La mosquée rouge est accusée de servir de refuge à des talibans combattant en Afghanistan et des islamistes pakistanais les soutenant. » Source AFP, jeudi 5 juillet 2007.

mercredi 4 juillet 2007

"Erreurs destructives massives" pour l'Iraq

Je me rappelle encore comme si c’était hier de ces déclarations alarmantes de la part du président des Etats-Unis sur la détention par Saddam Hussein d’armes de destructions massives. Soi-disant preuves irréfutables à l’appui.
Mais le 29 juin dernier, j’apprends –très discrètement-, que l’Organisation des Nations Unies met officiellement fin à la Commission de contrôle, de vérification et d’inspection des Nations Unies (COCOVINU – UNMOVIC United Nations Monitoring, Verification and Inspection Commission en anglais). Et avec quel résultat ? Rien. Fausse alerte. Les experts n’ont pas officiellement trouvé d’armes de destructions massives.

L’Iraq donc au début 2003, au moment de la prise de décision de l’invasion du pays par les troupes américaines, ne disposait pas d’armes de destructions massives prêtes à défigurer la face du monde. Il y avait bien quelques tubes en aluminium comme la Maison Blanche l’a si bien soulignée lors de ses discours va-t-en guerre. Mais cela justifiait-il-le choix d’envahir l’Irak et de faire tomber le despote Saddam Hussein ? La raison n’était-t-elle pas ailleurs ?
Dans ce cas, cela veut dire que la Maison Blanche a vendu « sa » guerre et qu’elle l’a justifiée auprès de la communauté internationale et de ses compatriotes sur la base d’un mauvais prétexte et de fausses informations. C’est cela qui est grave. Même si, cette fois-ci, c’est un dictateur sanguinaire qui est bien tombé. Mais à quel prix aujourd’hui pour le peuple irakien !

Mais encore, demain, sur la base de mensonges officiels, un homme politique, élu légitimement par son propre peuple, peut bien voir sa tête mise à prix et tomber. Comme celle de Saddam Hussein, la nuque brisée. Cela a d’ailleurs déjà été le cas, ailleurs, avec l’appui de la CIA. Faire et défaire les régimes politiques est une spécialité des services spéciaux américains depuis un siècle. Flashback. Au nom de la lutte contre le péril communiste, le socialiste chilien Salvador Allende n’a pas pu terminer son mandat présidentiel. Isolé et assiégé par les troupes du général Pinochet (soutenu par la CIA), il se suicide un certain 11 septembre… 1973. Tout ça, parce qu’il était jugé trop « gauchiste » par le pouvoir américain en ces temps de guerre froide. Et pourtant. L’homme populaire représentait un espoir dans son pays. Malheureusement pour lui et son peuple, il n’était pas en odeur de sainteté chez l’Oncle Sam d’Amérique. Maintenant, à qui le tour…
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Je vous reprends ci-dessous deux paragraphes de compte-rendu de la 5710e séance du Conseil de sécurité (CS/9064) du 29 juin 2007 qui ont conduit au vote de la résolution 1762 mettant aussitôt fin au mandat de la UNMOVIC.

La déclaration de M. DEMETRIUS PERRICOS, Président exécutif par intérim de la Commission de contrôle, de vérification et d’inspection des Nations Unies (COCOVINU) : « Au cours de la période allant du 27 novembre 2002 au 17 mars 2003, date à laquelle les inspecteurs ont été retirés, la COCOVINU a mené 731 inspections, couvrant 411 sites dont 88 n’avaient pas été inspectés dans le passé. Le 13e rapport trimestriel indique en outre qu’au cours de cette période, la Commission n’a pas trouvé la trace d’une reprise du programme d´armement iraquien ni de quantité significative de matériaux proscrits. Les inspecteurs avaient découvert un petit nombre d’ogives chimiques vides qui auraient été fabriquées avant 1990 et qui ont été alors détruites tout comme l’ont été des missiles Al Samoud II. Toutefois, ni le régime d’inspection, ni les déclarations, ni les documents soumis ont permis de faire la lumière sur des questions en suspens dont la liste avait été présentée au Conseil le 19 mars 2003. »

Et bien sur celle de M. ZALMAY KHALIZAND (États-Unis) qui « est revenu sur les mesures prises par son pays pour enquêter sur la présence d’armes de destruction massive en Iraq. Le Groupe d’investigation en Iraq dirigé par les États-Unis a enquêté du printemps 2003 au début de l’année 2005. Si les conditions de sécurité ont parfois rendu cette tâche difficile, le Groupe d’investigation et les membres de la Coalition ont pu faire leur travail et conclure que l’Iraq ne disposait ni d’armes de destruction massive ni de leurs vecteurs même si le Groupe d’investigation continue de trouver des stocks isolés de munitions. »

Lien des comptes rendus de séances de l’ONU sur cette question :
En français : http://www.un.org/News/fr-press/docs/2007/CS9064.doc.htm
In English: http://www.un.org/News/Press/docs/2007/sc9064.doc.htm
Lien sur la mission de la UNMOVIC : www.unmovic.org

Mémoire d’un chansonnier

Hommage à Gaston Couté, et à ses textes hors du temps, tellement présents.

Il est de ces textes intemporels. Sans âge. Certes il y a l’usage du patois. Mas si la forme et le verbe sonnent “ancien”, le contenu et le ton raisonnent “contemporain”. Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, je vous recommande la lecture des textes de Gaston Couté, chansonnier et poête beauceron (1880 – 1911). L’inspiration est rurale. Le verbe tout autant. Le regard est affûté et la critique acerbe. Anarchiste de combat, Couté trouve l’emphase dans les grands combats ideologiques (pacifisme, laïcité). Plutôt que de paraphraser ce qui a déja été écrit sur Gaston Couté depuis des décennies, je vous renvoie à la lecture de sa vie et ses oeuvres sur Internet à la fin de cette chronique. En introduction à l'édition complète des œuvres de Gaston Couté sous le titre La chanson d’un gâs qu’ mal tourné, on peut lire: “Lisez... Mais une précaution : Lisez-les vous. Oui ! Les textes de Gaston Couté sont presque tous écrits pour être dits. Il faut donc "se les lire". Les entendre. Ils ont le rythme de la parole. Ils sont "à la bouche", pas pour les yeux...”

Voici un des ses textes, “Le gâs qu'a mal tourné”.

Dans les temps qu'j'allais à l'école,
- Oùsqu'on m'vouèyait jamés bieaucoup, -
Je n'voulais pâs en fout'e un coup ;
J'm'en sauvais fér' des caberioles,
Dénicher les nids des bissons,
Sublailler, en becquant des mûres
Qui m'barbouillin tout'la figure,
Au yeu d'aller apprend' mes l'çons ;
C'qui fait qu'un jour qu'j'étais en classe,
(Tombait d' l'ieau, j'pouvions pâs m'prom'ner !)
L'mét'e i'm'dit, en s'levant d' sa place :
"Toué !... t'en vienras à mal tourner !"

Il avait ben raison nout' mét'e,
C't'houmm'-là, i'd'vait m'counnét' par coeur !
J'ai trop voulu fére à ma tête
Et ça m'a point porté bounheur ;
J'ai trop aimé voulouér ét' lib'e
Coumm' du temps qu' j'étais écoyier ;
J'ai pâs pu t'ni' en équilib'e
Dans eun'plac', dans un atéyier,
Dans un burieau... ben qu'on n'y foute
Pâs grand chous' de tout' la journée...
J'ai enfilé la mauvais' route!
Moué ! j'sés un gâs qu'a mal tourné !

A c'tt' heur', tous mes copains d'école,
Les ceuss' qu'appernin l'A B C
Et qu'écoutin les bounn's paroles,
l's sont casés, et ben casés !
Gn'en a qui sont clercs de notaire,
D'aut's qui sont commis épiciers,
D'aut's qu'a les protections du maire
Pour avouèr un post' d'empléyé...
Ça s'léss' viv' coumm' moutons en plaine,
Ça sait compter, pas raisounner !
J'pense queuqu'foués... et ça m'fait d'la peine
Moué ! j'sés un gâs qu'a mal tourné !

Et pus tard, quand qu'i's s'ront en âge,
Leu' barbe v'nu, leu' temps fini,
l's vouéront à s'mett'e en ménage ;
l's s'appont'ront un bon p'tit nid
Oùsque vienra nicher l' ben-êt'e
Avec eun' femm'... devant la Loué !
Ça douét êt' bon d'la femme hounnête :
Gn'a qu'les putains qui veul'nt ben d'moué.
Et ça s'comprend, moué, j'ai pas d'rentes,
Parsounn' n'a eun' dot à m'dounner,
J'ai pas un méquier dont qu'on s'vante...
Moué ! j'sés un gâs qu'a mal tourné !

l's s'ront ben vus par tout l'village,
Pasqu'i's gangn'ront pas mal d'argent
A fér des p'tits tripatrouillages
Au préjudic' des pauv'ers gens
Ou ben à licher les darrières
Des grouss'es légum's, des hauts placés.
Et quand, qu'à la fin d'leu carrière,
l's vouérront qu'i's ont ben assez
Volé, liché pour pus ren n'fére,
Tous les lichés, tous les ruinés
Diront qu'i's ont fait leu's affères...
Moué ! j's'rai un gâs qu'a mal tourné !

C'est égal ! Si jamés je r'tourne
Un joure r'prend' l'air du pat'lin
Ousqu'à mon sujet les langu's tournent
Qu'ça en est comm' des rou's d'moulin,
Eh ben ! I' faura que j'leu dise
Aux gâs r'tirés ou établis
Qu'a pataugé dans la bêtise,
La bassesse et la crapulerie
Coumm' des vrais cochons qui pataugent,
Faurâ qu' j'leu' dis' qu' j'ai pas mis l'nez
Dans la pâté' sal' de leu-z-auge...

dimanche 17 juin 2007

« L’Atmosphère » apaisée…

Le restaurant français à Kaboul l’Atmosphère a ré-ouvert ses portes le 17 juin, après sa fermeture précipitée. Le fisc afghan réclamait pas moins de 500 000 USD à son propriétaire, Marc Victor, du coup, s’était mis en grève de la faim. A lire ma chronique précédente du 7 juin dernier. De toute évidence, un terrain d’entente ait été trouvée depuis. Open bar pour tout le monde ?!