lundi 31 octobre 2011

Polka #15 nov-dec 2011


La une de Polka #15 sur la Somalie

La petite Fatma Ali a trouvé refuge avec sa mère à Mogadiscio, pour survivre à la sécheresse et à la famine. Des centaines de milliers de personnes sont en danger de mort dans la Corne de l’Afrique. Photo de Onur Coban

samedi 6 août 2011

Patrick Chauvel sur France Inter

Patrick Chauvel sur France Inter, dans l'émission "Témoins de passage" du vendredi 29 juillet 2011.

Reporter de guerre précoce, c'est à 17 ans, en 1967, qu'il se jette dans le grand bain : il se rend en Israël en pleine Guerre des Six Jours. Depuis, il n'a presque plus jamais lâché son appareil photo, et c'est avec cette arme dérisoire qu'il a pris part à tous les conflits.
La guerre, il la hait, et pourtant elle semble le poursuivre. Ou peut-être est-ce lui qui lui court après, tentant de l'attraper, afin de l'embrasser et de l'étouffer.
Quand il délaisse son appareil photo, c'est pour s'emparer d'un stylo, ou d'une caméra, et pour raconter, encore et encore, ces guerres qui le hantent.

jeudi 4 août 2011

La crise du photojournalisme sur France Inter

Depuis de longues années, déjà, le photojournalisme se débat dans un marché en crise. Toute-puissance des banque d’images, passage au numérique et presse en récession.
On les disait morts, les photoreporters font pourtant preuve d’une vigueur et d’une créativité jamais égalée. Aujourd’hui, le Grand Bain fait le point.
invités: Jean-François Leroy, photographe journalistique, directeur et fondateur du festival Visa pour l'image, Patrick Robert, photo-reporter indépendant

Emission "Le grand bain", par Sonia Devillers, du jeudi 4 août 2011:

mardi 14 juin 2011

Se méfier des faux-semblants...

Il faut se méfier des faux-semblants, ils sont depuis toujours les ennemis des journalistes et de tous les citoyens, quel que soit où l'on vive.
Il ne faut jamais oublié le b.a.-ba du journalisme: recouper ses informations, ses sources, enquêter, etc. Un travail difficile dans des cas comme la Syrie où les journalistes ont peu pour ne pas dire pas accès direct au terrain.
Reste le réseau des contacts, de plus en plus des blogueurs (mais qui est derrière... A lire: "La blogueuse de Damas Amina A. était… un Écossais" dans LeMonde.fr, lien plus bas) et bien ceux aussi de précieux "fixers", qui dans l'ombre travaillent avec les journalistes; tout un réseau qu'il faut tisser au fil du temps.
Transmettre une information ou la réécrire n'est pas du journalisme. C'est utile mais ça ne suffit pas. Avant de la transmettre, il faut la trouver, la vérifier, tout est un travail de long haleine au quotidien surtout dans le cas de sujets sensibles.
C'est la raison pour laquelle le journalisme ne s'improvise pas et que l'information s'achète. Quelqu'un doit payer pour ce travail de fourmi. Le lecteur, un annonceur...
C'est la responsabilité de tous de l'accompagner, de la suivre et de critiquer quand besoin est, les journaux et publications sérieuses qui s'engagent sur le terrain de l'information fiable et honnête. Il en va de nos libertés, de nos droits et de nos devoirs. Bonne lecture, D.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/06/13/la-blogueuse-de-damas-amina-a-etait-un-ecossais_1535330_3218.html

mardi 5 avril 2011

A documentary about John G. Morris - "Eleven frames"

A voir ce documentaire sur un grand, un très grand monsieur du photojournalisme. Une leçon pour rester exigeant, pour continuer à croire en ce métier et en ceux qui le font, pour relever des défis avec ceux qui vont sur le terrain, ceux qui prennent des risques (souvent) pour nous donner à voir et de tenter de mieux comprendre le mond...e.
Avec toute mon admiration pour ce vous avez fait et ce que vous faites, toujours.
"People are People the World Over". Ever.

This film tells the story of John G. Morris - the most influential photo editor of the 20th century - the era when photo editors chose the images that defined war, politics, culture - the life and times of generations.